Les marées à Quiberon Les marées dans la ria d’Etel : le changement de
décor ! |
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Dès que nous sommes arrivés, on devinait des sortes de grille sous l’eau. On se demandait ce que c’était. Une heure après, comme l’eau descendait, on a découvert les parcs en entier. On en voyait partout dans la ria. Quel changement !!! | |
En quatre photographies prises du même endroit, on voit les parcs à huître apparaître au fur et à mesure que la mer descend. | |
A marée basse, on fait :
- du char à voile ( plus le coefficient est important, plus la plage est grande ) - de la pêche à pied ( plus le coefficient est grand, plus on peut pêcher loin)
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Pendant notre séjour, le
plus fort coefficient a été 109, le plus petit 24. Au moment des grands coefficients, on a vu toute la digue de Portivy dans le sable, parce que la mer était descendue très loin. On appelle cela les grandes marées. |
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A Brest par exemple, quand c’est un coefficient de 120, il y a 13, 50 m
de différence hauteur d’eau entre la marée basse et la marée haute et
quand c’est un coefficient de 20, seulement 2,30 m ! C’est la place de la lune par rapport au soleil qui provoque des coefficients : on a les forts coefficients quand la terre, la lune et le soleil sont alignés. |
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Les horaires de marée : |
Les courants :
On a vu beaucoup de courants dans la ria d’Etel car à ce moment-là, la mer descendait avec un fort coefficient et la ria se vidait.
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On a aussi des forts courants le long de la côte sauvage à Quiberon. Les courants et les vagues mélangent leurs forces, surtout au moment des tempêtes. | |
Dès qu’il y a une tempête à la côte sauvage, les vagues claquent contre les rochers plusieurs fois, ce qui produit du sable que la mer amène à certains endroits avec les courants. | |
La mer qui creuse les rochers, ça s’appelle l’érosion. Nous en avons vu des traces. |
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Le lendemain d’un vent fort, on a vu que la plage était ridée : ce sont les vagues qui provoquent ces rides avec les rouleaux. | |
d'autres vues de la côte sauvage... | |
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